Brûler debout
Et ce sera le feu, nos armes et les bois, ce sera ce nonpays, ce territoire surtout, et puis ce sera encore le feu et nos armes, les bois traversés, ce sera l’Amérique des hors-la-loi et celle de nos révoltes, ce seront nos violences libérées, et nos promesses de tout brûler, et nous brûlerons tout, avant de brûler debout, la Mélisse en tête, notre Mélisse ignition.
À la frontière entre le roman noir, le brûlot politique et le western nordique, Brûler debout se présente comme une œuvre de la table rase. Par un débordement des gestes, de la langue et de la violence, l’auteur nous invite à suivre la fuite dans le territoire d’un groupe de desperados.
Ce qu'ils en ont dit
- Entrevue avec Josée Bournival, « Dimanche on lit », FM 103,3 (émission du 27 octobre 2024)
- Recension par Evelyne Charuest « Moteur de recherche », Radio-Canada (émission du 29 novembre 2024)
- Table ronde, avec Evelyne Charuest, Mathieu Blais, Sophie Bédard et Ariane Picard, « L’action comme seule porte de sortie », Salon du livre de Montréal (30 novembre 2024)
- Critique de Marie Fradette, « Brûler debout, Mathieu Blais », Le Devoir (19 octobre 2024)
- Critique de Josée Boileau, « En cavale et sans pitié », Journal de Montréal (7 décembre 20224)
- Entrevue avec Philippe Fortin, « Mathieu Blais – Histoires à brûler debout », Les Libraires (numéro 146, décembre-janvier 2024-2025).